ABOUT THOMAS POULIN

Mon désir de devenir entrepreneur a commencé avec ma famille : Mon père et mon grand-père sont des entrepreneurs. J’ai terminé mes études secondaires et je suis allé au Cégep en comptabilité et gestion parce que je me disais que je voulais avoir une entreprise plus tard, mais je ne savais pas encore quel genre d’entreprise. En fait, tout a commencé lorsque je travaillais à temps partiel dans un dépanneur. J’ai vu un téléphone cellulaire à vendre sur Facebook et j’ai décidé de l’acheter. J’ai ensuite mis une annonce sur facebook pour le revendre et en seulement 15 minutes, j’ai revendu le téléphone pour 100 $ de plus.

Au dépanneur, j’avais un salaire de 10$ de l’heure, et en revendant ce téléphone j’avais fait 100$ en l’espace de 15 minutes. C’est vraiment à ce moment que j’ai compris que je voulais être entrepreneur parce que je pourrais avoir ce que je voulais, c’est moi qui déciderais de ce que je ferais de mon temps, il n’y aurait personne pour me dire quoi faire, tout était possible et il n’y aurait aucune limite à ce que je pourrais atteindre. Avec cette nouvelle décision, j’ai décidé d’annoncer à tout le monde sur mon facebook que je vendais des téléphones cellulaires. J’ai ensuite reçu au moins 50 messages des personnes qui voulaient des iphones. Je n’avais pas de téléphones en main mais j’ai répondu aux gens que tout était parfait et que j’avais des téléphones pour eux. Je pensais que je pourrais trouver un fournisseur de téléphones mais je me suis rendu compte que ça n’existait pas.

Alors j’ai décidé de demander à tous les gens qui m’avaient écrit un dépôt de 150 $ pour leur nouveau téléphone cellulaire car je leur disais qu’il y avait tellement de gens qui en voulaient que s’ils voulaient être sûrs d’en avoir un il fallait me donner un dépôt. Avec les dépôts en main, chaque vendredi, je contactais tous les gens qui vendaient des téléphones cellulaires dans ma ville et je négociais pour les acheter à environ 150 $. Ensuite je revenais chez moi et les revendais à 250 $, donc j’avais un profit de 100 $ par téléphone. Je gardais tout l’argent de mes profits et j’allais acheter d’autres téléphones et il est venu un temps où j’achetais 30 à 40 téléphones par mois. Je faisais 3000 $ à 4000 $ par mois à partir de chez moi en revendant des téléphones cellulaires. Un peu plus tard, quelqu’un qui voyait que j’aimais être en affaire m’a présenté le marketing de réseau en 10 minutes grâce à une vidéo. J’ai trouvé que ce concept faisait du sens et j’ai décidé de débuter car selon moi l’investissement était ridicule et les possibilités illimitées. Je dois avouer qu’au départ j’étais quand même un peu sceptiques et je me demandais si ça allais fonctionner pour moi. Je savais que c’était possible pour d’autres personnes car en faisant des recherches je voyais qu’il y avait des gens qui avaient du succès mais je n’étais pas sûr de pouvoir réussir.

Malgré mes doutes, j’ai commencé. Je me disais que la pire chose qui pourrait arriver était de perdre 500 $. À mon premier mois, j’ai fait 3000 $, mon deuxième mois j’ai fait 5000 $. Ensuite j’ai commencé à vivre les difficultés du marketing de réseau. Pourquoi ? Parce qu’en voyant l’argent que j’avais fait au début, je croyais que j’étais bon, je croyais que c’était facile, qu’on n’avait rien besoin de faire, que les autres allaient travailler, que c’était un concept de 2 qui trouvent 2 qui trouvent 2… et qu’on allait devenir riches. Je me suis vite rendu compte que ce n’était pas le cas et j’ai perdu toute mon équipe. Les gens ont tous arrêté de travailler. Pourquoi ? Parce qu’ils n’avaient aucune motivation, ils n’avaient aucune idée comment y arriver et je ne les aidais pas. Personne ne peut grandir sans aide. Donc j’ai eu plusieurs mois où je ne faisais pas d’argent du tout et mon mentor m’a dit que pour résoudre la situation, je devais lire et faire du développement personnel.

J’ai vu la situation positivement parce que je me disais que même si je ne faisais pas d’argent, au moins j’apprenais pendant ce temps. Je suis resté avec ma première entreprise en marketing de réseau pendant deux ans. Après 11 mois j’avais recommencé à faire d’assez bons revenus. Je faisais entre 6000 $ et 8000 $ par mois. À ce moment-là je suis allé voir mon père et je lui ai annoncé que je ne voulais plus aller à l’école. Malgré la bonne relation entre moi et mon père, il n’était pas du tout d’accord avec moi et ne voulait pas que j’arrête d’aller à l’école. J’avais essayé d’amener le sujet plusieurs fois sur la table sans succès car ça créait des différents entre nous.

IMPACT RÉEL DANS LE MONDE

Thom a construit une organisation de 12 000 entrepreneurs
Son organisation génère plus de 10 Million $ par année en revenu
Il a voyagé dans plus de 20 pays grâce à son entreprise
Il a aidé des dizaines d'entrepreneurs à générer plus de 100K par année
Plus de 25 000 personnes lisent ses blogs sur Facebook chaque jour.

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Un jour j’ai décidé d’inviter mon père à dîner et je lui ai dit : « Viens dîner avec moi, j’ai besoin de te parler et ça va être un monologue. Je vais te parler et tu vas m’écouter. Si tu m’interromps, je vais me lever et m’en aller. Il a accepté. Durant le dîner je lui ai dit : « Selon moi, les personnes qui font les meilleures tables sont millionnaires, les personnes qui font les meilleures chaises sont millionnaires. Je crois que pour devenir millionnaire, on a simplement besoin de devenir le meilleur dans ce qu’on fait ». Je lui ensuite expliqué que je voulais devenir un professionnel du marketing de réseau car j’aime ça, j’aime ce que ça peut apporter comme style de vie et les possibilités sont illimités.

Après cette discussion avec mon père, il n’avait pas vraiment le choix d’accepter ma décision. Je lui ai également dit que mon but ultime dans la vie était d’écrire un livre et de devenir un conférencier qui inspire et motive les gens. En échange pour la bonne foi de mon père envers ma décision, je lui ai dit que si après avoir fait cette expérience en marketing de réseau je n’avais pas réussi à atteindre mes buts, j’allais écrire un livre sur l’importance d’écouter son père et d’aller à l’école. Par la suite, quand mon père prenait des nouvelles de mon entreprise en marketing de réseau, je répondais toujours que tout allait super bien, mais en fait ça n’allait vraiment pas bien. J’étais 20 000 $ en dette de cartes de crédit et en prêt bancaire et j’avais même emprunté de l’argent à mon père en lui disant que j’allais recevoir mes chèques. À un certain moment je n’ai pas eu le choix de lui avouer ma situation et je lui ai révélé que j’étais 20 000 $ en dette. Il n’était vraiment pas content.

Il m’a dit : « Tu as perdu deux ans de ta vie, tu n’es pas allé à l’école et maintenant tu as toutes ces dettes. Ça t’a coûté plus cher que d’aller à l’école et tu sais que j’aurais payé pour que tu aies à l’école. Tu n’as rien appris et après deux ans tu n’as plus rien. » Il m’a ensuite demandé ce que j’allais faire, et si j’allais me trouver un emploi. Je lui ai répondu que non, je n’allais pas me trouver un emploi, j’allais simplement continuer en marketing de réseau. C’est exactement ce que j’ai fait. Malgré cela, mon père n’arrêtait pas de me dire que je devais aller me trouver un emploi.

Finalement j’ai décidé de l’écouter, de chercher un emploi activement et d’aller passer des entrevues. Comme j’avais lu beaucoup de livres de développement personnel et de livres sur les affaires pendant les deux années avec ma première entreprise en marketing de réseau, j’ai reçu six offres d’emploi comme représentant des ventes, dont une à plus de 100 000 $ par année, avec automobile et téléphone fournis. C’était assez remarquable de recevoir ce genre d’offre à vingt ans. Après avoir pris cette décision, j’ai fait 1500 $ en revenu résiduel, ce qui m’apparaissait comme beaucoup, compte tenu du fait que j’avais passé mon temps à chercher un emploi. Quand j’ai eu mon père au bout du fil, je lui ai dit : « Salut papa, j’ai une bonne nouvelle, j’ai reçu une sixième offre d’emploi pour un poste à 100 000 $ par année avec voiture et téléphone payés ». Il m’a répondu que c’était extraordinaire, qu’il était fier de moi. Ensuite je lui ai dit: « J’ai aussi une deuxième bonne nouvelle pour toi papa: s’il y a 6 personnes qui veulent que je travaille pour elles, je décide de travailler pour moi ! »

Le mois suivant j’ai fait plus de 10 000$. Le mois d’après plus de 25 000 $, plus un chèque bonus de 25 000$ pour un total de 50 000 $. 4 mois et demi après avoir pris la décision de continuer en marketing de réseau, je faisais un revenu moyen de 40 000 $ par mois. À ce jour, même si je ne vis pas avec mon père, j’ai quand même gardé l’adresse de mes parents pour les chèques que je reçois car ma plus grande motivation était de leur prouver que j’avais raison, que je pouvais atteindre mes buts, mes rêves et surtout de leur prouver que c’était possible. Avec ce succès, j’ai également pu aider ma mère à faire des revenus elle aussi en marketing de réseau et j’ai pu offrir un voyage de rêve en Italie à mes parents en cadeau de Noël. J’ai également amené ma mère en voyage à Las Vegas et en Floride et dernièrement, j’ai amené toute ma famille en croisière.

Maintenant, mon but est d’aider le plus de gens possible à réussir dans mon équipe, car en marketing de réseau, même si on fait beaucoup d’argent, si notre équipe ne fait pas beaucoup d’argent, on ne peut pas réussir à long terme. Donc en aidant le plus de gens possible à faire de l’argent, on solidifie notre équipe et notre entreprise.

Voici les nouveaux buts à court terme de Thomas Poulin : Aider le plus de gens possible à réussir en marketing de réseau, grâce aux blogs et au programmes que je mets en place. Je veux inspirer les jeunes à se lancer en affaires, surtout ceux qui ont des difficultés à l’école, car d’où je viens, les gens qui m’entourait me disaient que sans l’école, on ne pouvait rien faire dans la vie et qu’on serait un perdant. Donc je peux comprendre ce qu’un jeune qui n’aime pas l’école vit. Quand on se fait dire ce genre de choses, ça affecte notre confiance en soi. Tout ce que je fais en ce moment va dans le sens d’aider d’autres gens comme moi à se réaliser, par le marketing de réseau ou en se lançant en affaires et de leur donner tous les outils nécessaires pour y arriver : motivation, inspiration, branding, étapes à suivre pour avoir du succès et avoir un style de vie incomparable. J’ai énormément de gratitude pour tout ce que j’ai vécu, ce que j’ai appris, l’abondance et le style de vie que j’ai maintenant dans ma vie, et surtout les gens que j’ai rencontrés. Je vous laisse avec ce message : Vivez, rêvez et foncez !

"MA PASSION EST D'AIDER D'AUTRES PERSONNES À RECOMMENCER À RÊVER, À CROIRE EN EUX ET À RÉALISER LEURS RÊVES."